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Supporting Individuals – The local branch of a national bookstore chain refused the author of Why Men Made God permission to display her books and sign them because the book was “too controversial.” SCS wrote a letter to the manager, who escalated it to her district manager, who instructed the manager to allow the author to display and sell her books, saying to us that the meeting with the manager was a “teaching moment.”
Municipal Scene – A non-believer expressed concern that local officials had installed a nativity scene in the municipal office building thus denying his right to freedom from religion in government spaces. SCS wrote a letter to the contacts he provided explaining how this was offensive. No response was received, but the nativity scene did not appear the next year.
Based on the 2015 decision (Mouvement laïque québécois et al v. City of Saguenay), SCS ensured that local municipalities had stopped opening their meetings with prayers. One mayor thought the ruling applied only to Québec, but referred it to their lawyers who agreed with SCS. Moments of silence to open meetings ensued.
Federal Advocacy – In response to SCS’ e-3638 petition, the Parliamentary Secretary to the Minister of Immigration, Refugees, and Citizenship confirmed that atheist/apostate refugees can access the Less Complex Claims policy reducing hearings and delays. SCS contacted all of Canada’s refugee officers, and made sure that they know this. We also made international groups assisting atheist/apostate refugees aware of this.
SCS expressed concern to the Minister of Immigration, Refugees, and Citizenship regarding longer wait times for atheist/apostate refugees from Pakistan and Bangladesh than for refugees from Eastern Europe. We highlighted the case of an atheist refugee who had full sponsorship in Canada, but waited for almost two years for final approval to enter Canada. We received a response from an official saying that nothing could be done – five days after the refugee had been granted final entry into Canada.
SCS wrote a letter of concern to the Principal of the Canadian School of Public Service regarding the opening of classes with a prayer. The principal claimed the prayer was a one-time special acknowledgement of aboriginal culture, even though our source indicated that it was common practice. SCS has had no confirmation that the illegal practice has ceased.
In Our Schools – the grandmother of an elementary school student emailed SCS with a concern that after-school religious classes were being advertised and sponsored by a public school. Her concern was that her grandchild was being peer pressured into attending. SCS wrote the principal of the school and pointed out that the practice denied students their right to freedom from religion. The principal escalated the issue to a superintendent who wrote to SCS informing us that she had visited the school, had seen the promotional material, and had instructed the principal to remove them immediately.
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Les succès, grands et petits
Soutenir les individus – La branche locale d’une chaîne de librairies nationale a refusé à l’auteur de Why Men Made God la permission d’exposer ses livres et de les signer parce que le livre était « trop controversé ». SCS a écrit une lettre à la gestionnaire, qui l’a transmise à son directeur de district, qui a demandé au directeur de permettre à l’auteur d’exposer et de vendre ses livres, nous disant que la réunion avec le gestionnaire était un « moment d’enseignement ».
Scène municipale – Un non-croyant s’est dit préoccupé par le fait que des responsables locaux avaient installé une crèche dans l’immeuble de bureaux municipal, niant ainsi son droit à la liberté de religion dans les espaces gouvernementaux. SCS a écrit une lettre aux contacts qu’il a fournis expliquant en quoi c’était offensant. Aucune réponse n’a été reçue, mais la scène de la nativité n’est pas apparue l’année suivante.
Sur la base de la décision de 2015 (Mouvement laïque québécois et al c. Ville de Saguenay), SCS s’est assuré que les municipalités locales avaient cessé d’ouvrir leurs réunions avec des prières. Un maire a estimé que la décision ne s’appliquait qu’au Québec, mais l’a renvoyée à ses avocats qui étaient d’accord avec SCS. Des moments de silence aux séances publiques s’ensuivent.
Défense des intérêts du gouvernement fédéral – En réponse à la pétition e-3638 de SCS, le secrétaire parlementaire du ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté a confirmé que les réfugiés athées/apostats peuvent accéder à la politique sur les revendications moins complexes, ce qui réduit les audiences et les retards. SCS a communiqué avec tous les agents des réfugiés du Canada et s’est assuré qu’ils le savaient. Nous avons également sensibilisés les groupes internationaux qui aident les réfugiés athées/apostats à ce sujet.
SCS s’est dite préoccupée par le ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté au sujet des temps d’attente plus longs pour les réfugiés athées/apostats du Pakistan et du Bangladesh que pour les réfugiés d’Europe de l’Est. Nous avons mis en évidence le cas d’un réfugié athée qui a été parrainé à part entière au Canada, mais qui a attendu près de deux ans pour obtenir l’approbation finale pour entrer au Canada. Nous avons reçu une réponse d’un fonctionnaire disant que rien ne pouvait être fait – cinq jours après que le réfugié ait obtenu l’entrée finale au Canada.
SCS a écrit une lettre de préoccupation au directeur de l’École de la fonction publique du Canada concernant l’ouverture des classes avec une prière. Le directeur a affirmé que la prière était une reconnaissance spéciale unique de la culture autochtone, même si notre source a indiqué qu’il s’agissait d’une pratique courante. SCS n’a eu aucune confirmation que la pratique illégale a cessé.
Dans nos écoles , la grand-mère d’un élève de l’école primaire a envoyé un courriel à SCS pour s’inquiéter que les cours de religion après l’école étaient annoncés et parrainés par une école publique. Ce qui la préoccupait, c’était que son petit-enfant était pressé par ses pairs d’y assister. SCS a écrit au directeur de l’école et a souligné que cette pratique privait les élèves de leur droit à la liberté de religion. La directrice a transmis le problème à une surintendante qui a écrit à SCS pour nous informer qu’elle avait visité l’école, qu’elle avait vu le matériel promotionnel et qu’elle avait demandé au directeur de les retirer immédiatement.